Coming up are the whispering hours of Vesper, a concert night organized in the Literary Cafe de Graanrepubliek. Giu, Dugan and I, Sacre, will play live and not live for thirty of you, and for the first time, dancing will not be the priority.
A few days before the gathering will happen, let us hear a few seconds of each of the performances to come…
Giu
Giu is arriving slowly at the place she’s always been at. She makes sonic decisions like nobody and knows exactly what will make her feel some wonderful type of way. Her appearances behind the decks are extremely rare and yet, they always have been of special quality. On Saturday, one might expect a treasure of warm glimmers that will all share a precious intensity. Made of daring confidences, Giu’s set will feel like sharing a dangerous secret with your lover.
Dugan
Dugan is a master at providing the feelings without trying, it’s in him and he knows where to dig. He also knows how to express them within varying musical frameworks. Some of you might have caught him violently chanting through the Vera speakers at the first edition of the Plasma nights. On Saturday, the musical work he will present is from a rather striped-down register, a concert made of retrospective glistenings and gothic ballads.
Sacre
As for me, well, I loooove playing around within the boundaries of ambient music. It feels very free in its absence of a required structure, I will disrupt, loop and unloop, copy and paste and destroy. But it is difficult to restrain yourself from finding a form, a shape or a song structure to rely on. My live on Saturday will be consisting of weird stones that I found while cutting the walls of the cavern, stuff that might be worthless to the jeweller but that wears my most profound colours. I really hope you’ll enjoy it.
Generally, Vesper will be a cloud found in the depth of the earth. Something that is hidden from all on the first floor of the lovely café that is the Graanrepubliek, a place that I deeply cherish since my first days in this city.
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Sacre
C'est bientôt les heures chuchotantes de Vesper, une soirée de concerts organisés dans le Café Littéraire de Graanrepubliek. Giu, Dugaan et Moi, Sacre joueront en direct et non en direct pour une trentaine d'entre vous, et pour la première fois, la danse n'est pas notre but.
Quelques jours avant le rassemblement, écoutons quelques secondes de chacune des performances à venir...
Giu
Giu arrive lentement à l'endroit où elle a toujours été. Elle prend des décisions sonores comme personne et sait exactement ce qui la fera vibrer comme elle l'entend. Ses apparitions derrière les platines sont extrêmement rares et pourtant, elles ont toujours été d'une qualité spéciale. Samedi, on peut s'attendre à un trésor de lueurs chaleureuses qui partageront toutes une précieuse intensité. Fait de confidences audacieuses, le set de Giu vous donnera l'impression de partager un dangereux secret avec votre amoureux/euse.
Dugan
Dugan est passé maître dans l'art d'exprimer les sentiments sans try hard, ils sont en lui et il sait où les chercher. Il sait aussi comment les exprimer dans des cadres musicaux variés. Certains d'entre vous l'ont peut-être surpris en train de chanter violemment à travers le system de Vera lors de la première édition des soirées Plasma. Samedi, l'œuvre musicale qu'il présentera est d'un registre plutôt dépouillé, un concert fait de scintillements rétrospectifs et de ballades gothiques.
Sacre
Quant à moi, j'adore jouer avec les limites de l'ambient. Je me sens très libre dans son absence de structure requise, je vais perturber, boucler et déboucler, copier et coller et détruire. Mais il est difficile de se retenir de trouver une forme ou une structure de son à laquelle se fier. Mon live de samedi sera composé de pierres étranges que j'ai trouvées en taillant les murs de ma caverne, des trucs qui pourraient être sans valeur pour le bijoutier mais qui portent mes couleurs les plus profondes. J'espère vraiment que vous l'apprécierez.
En général, Vesper sera un nuage trouvé dans les profondeurs de la terre. Quelque chose qui est caché de tous au premier étage de l'adorable café qu'est le Graanrepubliek, un endroit que je chéris profondément depuis mes premiers jours dans cette ville.
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